Sélectionner une page
ImageSurMesure au Japon

ImageSurMesure au Japon

Le Japon fait rêver les jeunes par sa technologie, ses mangas, le cosplay, sa nourriture et les plus vieux comme moi, par sa culture pleine de sagesse, son amour des jardins et du zen, ses maisons en bois et en papier où l’on vit au ras du sol. Donc cette destination, certes très onéreuse, a fait l’unanimité dans la famille, ce qui n’était pas le cas pour le Kamtchatka en 2017, où je me suis rendu sans mes enfants.

Le Japon est un pays très moderne plein de contrastes. La stabilité de son économie et de sa population n’a de cesse d’être perturbée par les tsunamis et les typhons. Comme le Kamtchatka, il se situe sur une faille sismique ce qui n’ébranle en rien la détermination de son peuple, connu dans l’histoire par la bravoure de ses samouraïs, kamikazes ou sa forme de suicide spectaculaire par hara-kiri. Mais c’est aussi le plus grand pays concepteur et fabricant d’appareils photo et de robots futuristes. Il n’y a pas de place pour la demi-mesure sur cet archipel. La paix de ses campagnes et de ses rizières, contée dans son cinéma ou ses mangas, est l’envers du miroir. Et c’est cela que je suis parti découvrir, avec mes appareils photo.

Alors voici une sélection de photographies de ma vision du Japon, de ses contrastes et de tout ce qui a éveillé en moi de riches émotions : https://departpourmoscou.fr/category/japon/

Et vous en trouverez davantage sur ma page instagram : https://www.instagram.com/christophegibourg/

A bientôt

EXPOSITION Odysées Russes

EXPOSITION Odysées Russes

Bibliothèque André Malraux
112 rue de Rennes, Paris

du 14 mai au 19 juin 2019

Photographies de Christophe Gibourg et Olivier Marchesi, deux explorateurs des contrées russes. Vernissage de l’exposition le 6 juin à 19h, en présence de l’écrivain voyageur, Cédric Gras, qui viendra raconter ses voyages et présenter son œuvre.

Pour en savoir plus, je vous renvoie sur le site de la mairie de Paris « Que faire à Paris » : quefaire.paris.fr/72461/odysees-russes

Les photographies sont exposées aux 4ème étage (livres adultes, BD) et 5ème étage (espace musique, cinéma, informatique).
Vous trouverez les photos d’Olivier Marchesi exclusivement au 4ème étage, regroupées en 2 séries accrochées chacune sur un grand mur dédié. Ces sont des photos en noir et blanc sous verre.
Les 44 photographies de Christophe Gibourg sont réparties aux 4ème et 5ème etages sur une quinzaine d’espaces muraux différents. Ces photographies sont en couleur ou en noir et blanc, la plupart sont encadrées sans verre afin d’éviter tout reflet et de permettre une immersion du spectateur dans le paysage. Il y a néanmoins 3 photos sous verre au 5ème étage (afin d’assurer la protection des tirages fineart très fragiles). Un catalogue avec des tarifs est disponible à l’accueil de chaque étage.

Entrée gratuite.

Attention aux horaires d’ouverture :
– mardi, vendredi : 13h-19h
– mercredi 10h-19h
– jeudi : 13h-17h30
– samedi 10h-18h

Publication dans Gare de l’Est

Publication dans Gare de l’Est

Un voyage au bout du monde

C’est pour clore quatre ans de vie en Russie que nous avons organisé un voyage à l’est des pays de l’est, dans une péninsule reculée recouverte de volcans et peuplée d’ours bruns : le Kamtchatka !

Loin des technologies

Il n’était alors pas question de site Web ou de blog, ni même de réseaux sociaux. Le seul bourdonnement qui parvenait à nos oreilles n’était pas celui de pylônes électriques mais celui du vol des moustiques, très nombreux pendant l’été dans les vallées boisées striées de rivières. Heureusement, nous avions projeté de monter sur certains volcans, loin de ces tracas.

Au plus près de l’origine du monde

Biens couverts, conduits dans un véhicule tous terrains à six roues motrices et à pneus surdimensionnés, nous avons pu nous soustraire à l’obligation de circuler sur des routes carrossables. Et quand nous sommes allés marcher vers les sommets, en traversants des zones enneigées, des coulées de laves encore fumantes, des sources d’eaux chaudes, que nous apercevions l’océan Pacifique entre les sommets, et que nous découvrions les premières plantes réussissant à s’accrocher à cet univers minéral, nous avions littéralement l’impression d’être les témoins de le création de la Terre.

Voyager en Russie

C’est ensuite avec une certaine fierté que j’ai pu proposer un reportage photographique au magazine Gare de l’Est, dont une des représentante connaissait mes photographies pour les avoir vues exposées à Moscou.

Et ce Tome 8 de Gare de l’Est est exceptionnel à plus d’un titre car c’est le dernier numéro présenté sous cette forme semestrielle, de 250 pages. D’une richesse incroyable avec des reportages réalisés dans les Balkans, l’Europe orientale, la Russie, le Caucase Sud, l’Asie centrale ! Beaucoup de textes et tous magnifiquement illustrés par des photographes talentueux.

Le plus simple pour se le procurer est de contacter directement l’Harmattan, ou ImageSurMesure qui en a quelques exemplaires.

Les pages consacrées à ce reportage de Christophe Gibourg sont visibles sur :

https://departpourmoscou.fr/category/gare-de-lest/

Bon voyage !

 

Pourquoi il ne faut pas faire son site Web seul

Pourquoi il ne faut pas faire son site Web seul

Un site gratuit pour Noël

Avant d’être convaincu d’avoir besoin d’un site internet, on est confronté à des offres qui nous proposent de créer en un clic le site de nos rêves. Si l’on est jeune entrepreneur, que notre budget est limité, même si l’on a assez d’expérience dans la vie pour savoir que rien n’est gratuit et que tout service fiable repose sur un modèle économique viable, on est soumis inconsciemment à cette tentation. Alors oui, notre monde est beau et génial, nous pouvons acheter des t-shirt à un euro et créer un site gratuitement. Et ensuite il suffit de revendre ces t-shirt à plusieurs euros pour devenir riche !

Si vous n’avez pas encore créé votre site internet seul, vous allez le faire car cela vous semble absurde de donnez mille ou plusieurs milliers d’euros à une entreprise qui ne sait pas mieux que vous ce dont vous avez besoin. Et vous aurez tort.

Connaissez-vous l’offre et les technologies utilisées ?

Votre métier n’est pas l’informatique et vous n’êtes pas ce que l’on appelle un geek. Donc évidemment vous ne vous souciez pas, à juste titre, des langages et des technologies mis en oeuvre pour permettre la création et la gestion des sites Web. A quoi bon, puisqu’un service intuitif ne nécessitant aucune qualification peut être mis à votre disposition pour un prix dérisoire, voire sans frais. Vous ne pouvez comparer les offres sur le Web car il faudrait comparer les technologies et donc se soucier de ce qu’elles sont intrinsèquement. Pourtant, leur connaissance, pour le choix d’un outil, est utile si l’on veut que cet investissement – en temps, si ce n’est en argent – soit pérenne. Comment ces outils sont apparus, que vont-ils devenir ?

La démocratisation en France des Personnal Computer, dans les années 80, a fait apparaître deux grandes familles de machines qui pouvaient apporter des services similaires : les PC et les serveurs, ces derniers étant utilisés par les sociétés pour connecter ensemble des groupes de collaborateurs et les données de l’entreprise. La puissance croissante des PC et la maturité des réseaux ont permis des phénomènes de downsizing, pour déporter des traitements sur les ordinateurs personnels et démultiplier les capacités de calcul de l’ensemble du parc informatique. Les logiciels, dumpés par la puissance de tous les composants, se sont installés en force sur les PC. Et aujourd’hui, la mise à disposition des clouds et des espaces de stockage sur des serveurs répartis, éloignés parfois de milliers de kilomètres, permet, dans un mouvement inverse, d’alléger les stations de travail. Non pas qu’elles n’aient la capacité de calcul ou de stockage nécessaire mais elles ont été dotées d’une nouvelle qualité grâce à la miniaturisation : la mobilité ! Le logiciel de présentation des données et des applications distantes, le navigateur Web, devient le cœur des interfaces utilisateur. Tablettes et smartphones sont utilisées comme des PC, obligeant les applications et les sites à intégrer l’ensemble de ces formats d’affichage comme une nouvelle contrainte technique.

Dans les grandes entreprises, pour unifier l’interface des sites distants on adopte aussi des solutions logicielles qui s’appuient sur une architecture web et un navigateur. Les serveurs web communiquent ainsi avec des serveurs d’applications qui eux-même interagissent avec les serveurs de bases de données pour permettre aux utilisateurs de recevoir, sur le navigateur de leur PC, les informations recherchées. Le partage des informations n’a plus de limite géographique.

C’est la connaissance de cette architecture et de son histoire qui a permis techniquement la création d’ImageSurMesure. La connaissance d’un langage permettant la programmation d’un des éléments de la solution – le site Web – est loin, donc, d’être une raison suffisante pour décider de créer seul sont site professionnel.

Comment répondre aux attentes des internautes ?

Quelle que soit votre offre de biens ou services, ne croyez pas que vous êtes le premier sur ce marché. Dans le cas où votre offre est, par plusieurs de ces aspects, exceptionnelle, elle va permettre de satisfaire un besoin qui était satisfait néanmoins par d’autres produits. Alors, si vous voulez être présent sur la grande place du Web, il va falloir, dans tous les cas, déterminer où se trouvent vos clients et ce qu’ils recherchent. Ou plus exactement, comment ils perçoivent leurs propres besoins et comment ils les expriment dans les moteurs de recherche. Ces moteurs qui n’étaient rien d’autre que des portes d’entrée sont devenus le vrai moteur d’internet.

Des sites se sont spécialisés dans la collecte des données entrées sur le Web car leur analyse permet de prendre le pouls de la nouvelle économie. Il ne faut pas réduire cette économie à du virtuel et du digital car toutes les productions de biens et services, dans notre monde développé occidental, passent maintenant par ce média. Même l’administration, les banques et les assurances imposent d’interagir avec eux par le biais d’internet.

Donc répondre aux attentes des internautes, c’est analyser leurs besoins, leurs requêtes, leur cheminement. Au lieu de se demander quel itinéraire en voiture ou à pied ils empruntent, afin de pouvoir coller une affiche au bon endroit, il faut transposer tout cela sur la toile, le réseau mondial internet. Certaines grandes entreprises ont des équipes qui passent leur temps à analyser ces données pour ajuster leur offre et leur discours. La connaissance des règles de référencement et le paramétrage des métadonnées est devenu indispensable. Et cette face de l’iceberg n’est ni montrée ni mise en avant par les offres gratuites de création de site. Se débrouiller dans cette jungle est d’autant plus difficile qu’elle est en pleine expansion et qu’aucun acteur ne sait comment elle va évoluer. La veille technologique est de rigueur pour qui veut rester au contact de ses marchés. 

Commencer par se connaître soi-même

Maîtriser des technologies dont celle du référencement n’est pas suffisant pour créer son site internet. La partie la plus compliquée, je l’ai gardée pour la fin de cet article.  Ce sont les mots, rien que les mots. Ces mots qui doivent constituer le texte de votre site ne doivent pas seulement parler à l’internaute. Ils ne doivent pas seulement être en nombre suffisant pour être considérés comme pertinents par Google. Ils doivent surtout vous définir, présenter votre offre dans ce qu’elle a de différent. Quelles sont les valeurs qui vous poussent à entreprendre ? Il y a toujours une motivation qui vous distingue des autres, qui justifie votre engagement. Parfois en réaction au marché existant, qui vieillit, qui ne s’adapte pas assez vite aux nouveaux modes de vie, aux nouveaux modes de production, aux nouveaux modes de communication. Ou au contraire, la modernité fait parfois table rase d’un passé que vous souhaiter préserver. On a tous des avis et des sensibilités différents face à toutes ces questions et il est extraordinaire de pouvoir les faire cohabiter dans notre société et sur internet. Les capacités des uns et des autres permet d’offrir une offre infinie. Encore faut-il que cette offre soit exprimée, connue et comprise. Et cela passe par les mots.

Quand je dis les mots, j’entends aussi les images et les photographies – sans exclure les sons mais beaucoup naviguent sur internet avec le volume à zéro -, car un message, comme une émotion, peut s’exprimer avec des formes et des couleurs. Et un objet, une matière, un atelier de production, une manière de faire où la représentation d’une personne prennent vie avec une image. Elle peut être fixe – une photographie – ou en mouvement – une vidéo. Pour comprendre et décider ce qui peut vous être utile, il est judicieux – pour ne pas dire indispensable – d’avoir un conseiller. Comment échanger et s’affirmer sans avoir au moins une personne de confiance, avec de l’expérience, qui peut vous critiquer et vous aider à formuler ce que vous devez dire ? Et peut-être même le formuler à votre place si écrire ne vous plait pas. En parlant avec vous, une personne extérieure à votre cercle intime, mettra parfois en évidence un talent et des qualités que ceux qui vivent près de vous ne voient plus ou considèrent comme une évidence sans l’exprimer. Il est nécessaire de se mettre dans la peau de votre cible commerciale et de dépasser vos propres goûts. Mais se connaître soi-même pour extraire ce qui est utile à votre communication peut demander des semaines ou des mois. Etre deux dans cette partie du travail permet de gagner beaucoup de temps. Et c’est encore un aspect à ne pas négliger.

Créer son site Web est important, il ne faut pas se précipiter, seul. A bon entendeur, salut !

 

Rester libre

Rester libre

Certains entrepreneurs ou particuliers souhaitent confier à un tiers la création de leur site internet et ne jamais s’occuper de technique. Alors, il leur faut trouver quelqu’un de confiance. Mais il est possible de sous-traiter l’étape de création initiale et de rester acteur dans la vie de son site.

Pouvoir mettre à jour seul son site web

Il existe des solutions modernes de création et de gestion de site web – je pense notamment à WordPress – qui peuvent être utilisées par des non-informaticiens. Les interfaces de ces outils récents sont plus intuitives, permettent d’avoir une vision précise du résultat pendant la conception sur l’ordinateur. La connaissance d’un langage informatique n’est pas indispensable, même si elle est tout de même utile dans certains cas. Ainsi, créer et dans une moindre mesure, modifier un site de ce type, est à la portée de tous. Inutile de comprendre le code php, d’enrichir des classes ou de faire des requêtes dans une base de données. On définit un menu, des pages, on importe des photos, on écrit dans un éditeur classique.

Le principal, dans cette aventure, reste de :

  • avoir envie (car dans tous les logiciels, certaines fonctionnalités répondent à des logiques qui nous échappent et il faut s’armer de patience)
  • avoir du temps (découvrir de nouvelles fonctionnalités incitent à tester et à modifier son projet initial)

Les plus curieux et les plus familiers avec la langue anglaise trouveront de nombreuses vidéos sur internet présentant tel ou tel aspect de la gestion du site. 

Mais l’outil ne suffit pas à la création du site, il y a d’autres contraintes pour créer un service en ligne. Il faut premièrement un nom de domaine – choisir un nom avec son extension et souscrire à l’abonnement annuel correspondant. Et deuxièmement, il faut souscrire à un service d’hébergement pour que le site soit sur un serveur connecté au web et adressable par son nom de domaine. Et est-ce que j’ai automatiquement une adresse mail associée à mon nom de site web ? Et bien non !

Pour ne pas être limité dans l’installation d’extensions, et donc être libre dans sa création, il est nécessaire de ne pas choisir une solution intégrant un hébergement gratuit. Parce qu’il est indispensable d’avoir accès au répertoire de stockage pour pouvoir déposer ou télécharger des fichiers ! Et pour choisir seul un hébergeur, il est nécessaire de comprendre sur quelles technologies reposent votre solution technique. Avez-vous besoin d’une base de données par exemple ? Pour WordPress, la réponse est oui. Faut-il que vous avertissiez vos utilisateurs de l’utilisation de cookies ? Votre base de données, si vous en avez une, conserve-t-elle des informations utilisateurs ? Et les sauvegardes ? Les restaurations ? 

Ne pas se sentir prisonnier d’une agence

Après cette première partie de présentation des éléments d’une solution à la portée de tous, on comprend facilement l’intérêt d’être accompagné au démarrage. Il ne faut pas pour autant renoncer à prendre en charge une partie des mises à jour. 

Mais la modernité des solutions nouvelles n’a pas que des avantages. Notamment, du fait de leur caractère récent, elles sont imparfaites. Ainsi elles sont mises à jour régulièrement. Le niveau des hackers n’a d’égal que le rythme de parution des patchs de sécurité de l’ensemble de la chaîne informatique : système, serveur web, base de donnée, CMS, plugins… 

Est-ce que vous souhaitez mettre à jour tout cela seul ? Certes, nombreux sont les composants qui peuvent se mettre à jour sans intervention humaine ou en cliquant sur un bouton mais les éditeurs de logiciels ne garantissent pas la compatibilité avec les autres extensions ou composants qui constituent l’ensemble de votre solution technique. Je n’essaye pas de vous faire peur. Seulement, dans 80% des cas ou peut-être même 9 fois sur 10, il n’y a pas de problème. Le souci, c’est les 10% restants, dont la publicité ne parle pas. Inversement, le temps à passer pour bien faire fonctionner un site web, ou un autre type d’application informatique, va demander de consacrer 80% de son temps à des détails. La partie principale est souvent facile à créer et à maintenir. 

Trouver un prestataire qui vous écoute… et vous réponde

Donc, selon votre profil, selon que vous êtes habitués à tester les logiciels ou applications récents, vous aurez envie de prendre en main votre site. Il est possible de faciliter cette transition par une formation. Quelques heures peuvent suffirent.

Mais, dans tous les cas, même si vous ne comprenez rien et ne voulez pas essayer de comprendre, vous avez le droit de connaître le prix de votre liberté. Comment est-ce que cela va se passer quand je voudrai changer de fournisseur, de prestataire ? Quel délai et surtout, sous quelle forme vais-je récupérer mon site ? Pourra-t-on m’aider à l’installer ailleurs si je n’ai plus les moyens de payer un service de maintenance ? Si votre société disparaît, vais-je tout perdre ?

Toutes les questions sont bonnes à poser. Tous les prestataires doivent vous répondre avec un vocabulaire compréhensible, à moins qu’ils ne préfèrent vous garder prisonnier de leur service. Les plus gros d’entre eux auront généralement des prix plus compétitifs mais vous serez un client, parmi beaucoup d’autres, et on n’aura pas toujours le temps de s’occuper de vous. 

Chez ImageSurMesure, on vous propose la création du site, l’hébergement avec la maintenance mais aussi la formation sur mesure. Posez-nous toutes vos questions, nous prendrons le temps de vous répondre. Partager a toujours été un de nos plaisirs. Mais ne continuer pas de travailler sans dire vous-même sur internet qui vous êtes, quels sont vos atouts et vos valeurs. Car c’est là que tout le monde va les rechercher ! Alors, si ce n’est pas déjà fait, créez votre site web !

Maîtriser son image sur internet

Maîtriser son image sur internet

Un acteur incontournable : Google

En France, les professionnels ont besoin d’être visibles sur internet pour interpeller le monde – la petite partie du monde qui représente la cible commerciale de chacun pour être plus précis. Et le Web est devenu cette immense place publique ou tous nous nous retrouvons – à l’exclusion d’une minorité très attachée à sa liberté et à une partie de la population exclue pour des raisons de niveau de vie et de développement -, le lieu rêvé pour essayer de promouvoir un bien ou un service.

Aujourd’hui, en 2018 dans notre hexagone, force est de reconnaître que 95% des recherches sur internet passent par un moteur qui a réussi à marginaliser l’ensemble de la concurrence . Alors, avant d’atterrir sur un site précis, nous utilisons un site particulier qui, à tort ou à raison, finit par centraliser la mémoire du monde, je veux parler du moteur de recherche Google, disponible dans plus d’une centaine de langues.

Mais qui parle de moi ?

Et tout ce monde de parler de sa vie, de son travail, de ses loisirs, du monde lui-même. Les uns alimentent des médias, d’autres des blogs et des sites professionnels, et une proportion importante se focalisent sur les réseaux dits « sociaux ». Cet élément est très important car ces réseaux sociaux, sont des agglomérats d’individus, consommateurs d’un côté, et de l’autre, pour une partie d’entre eux, décideurs dans des entreprises ou institutions. L’ensemble de la sphère économique est donc là, réunie !

Et comme dans un immense café-comptoir, tout va pouvoir être dit et écrit, et montré en images, sur nous, sur vous, sur eux. Un ami proche va partager une photo de son dernier barbecue quand votre lycée d’antan va vous proposer de reconnaître votre classe et votre partenaire commercial vous citer comme une ressource de choix de son nouveau business. Il ne faut pas oublier le voisin récalcitrant qui a vu votre chien se soulager sur ses fleurs et qui, dès que l’occasion va se présenter, va écrire des propos calomnieux sur vous ou sur ce que vous représentez économiquement. Je n’insisterai pas sur les bassesses humaines mais les exemples sont nombreux.

Mais ce n’est pas moi ça !

Ainsi se construit une image de nous-mêmes, vrai ou fausse peu importe. Le fait est qu’elle est là. Et de façon concomitante, les systèmes informatiques absorbent des volumes de plus en plus gigantesques et traitent des données à une vitesse non moins ahurissante. Nos téléphones vont bientôt nous filmer dans le noir. Il n’y aura plus un instant capable d’échapper à la boulimie du réseau. Les richesses croissent, réparties comme jamais en toute iniquité, laissant de beaux jours encore à la jalousie et la diffamation. Donc, dans ce contexte, votre image risque d’être un plus écornée, malmenée et il est vraisemblable que vous ne la reconnaîtrez pas toujours. La technique ayant ses limites, et chaque évolution générant ses catastrophes, la reconnaissance faciale qui va permettre aux machines de classer les images avec autant d’acharnement que les écrits, vous prendra aussi parfois pour un autre et inversement.

Une seule solution : construisez vous-même votre image

Cette technologie de l’information et des réseaux est tout de même bâtie autour d’intelligence artificielle et aime les sujets clairs et structurés. Ce qui peut ressembler à un chaos est organisé mais l’homme ne peut plus se désolidariser de la machine pour le gérer. Pour votre image, il y a donc une solution. Cette solution ne va pas permettre de faire disparaître toutes les données évoquées plus haut, elle va vous permettre de placer en haut de la pile, une information que vous aurez validé, de présenter des valeurs qui sont les vôtres. Le discours et la méthode s’appliquent aussi bien aux particuliers qu’aux entreprises même si ce sont ces dernières les plus vigilantes sur les effets négatifs d’une information mal comprise, mal expliquée ou simplement erronée. Car ces effets ont des incidences directes sur leurs chiffres d’affaires.

Alors, créez un site internet à votre nom, au nom de votre marque, et, pour les responsables qui doivent se présenter personnellement, une page à leur nom. Google saura vous reconnaître et pour tous ceux qui chercheront votre nom, ils pourront être confrontés à une information actualisée, maîtrisée, celle que vous aurez choisie. Évidemment, cela vous demande de contrôler aussi le moyen de vous joindre. Car si le but de l’internaute est d’avoir votre contact, s’il ne trouve pas la réponse qu’il cherche sur votre site, et cela facilement, il va continuer ces investigations et là, vous perdez la main et ne savez pas ce qu’il va trouver.

On peut dire, pour conclure, que la législation française nous aide car, pour toute activité professionnelle, un site internet doit indiquer, entre autres :

  • pour un entrepreneur individuel : nom, prénom, domicile ;
  • pour une société : raison sociale, forme juridique, adresse de l’établissement ou du siège social (et non pas une simple boîte postale), montant du capital social ;
  • adresse de courrier électronique et numéro de téléphone ;

(Source : https://www.service-public.fr/professionnels-entreprises/vosdroits/F31228)

ImageSurMesure est né de ce désir de rendre aux entreprise et aux entrepreneurs leur propre image et ceci par le biais, entre autre, de l’image photographique car la photographie est notre passion. 

Vous n’avez pas encore de site web ? Alors contactez-nous !